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Il peut sembler trivial pour moi d'écrire sur les raisons pour lesquelles ceux qui continuent de marquer le 17 juillet comme la "Journée de la justice internationale" devraient enfin cesser de l'appeler ainsi. De nombreux groupes de défense des droits humains (y compris l'ICTJ), des agences des Nations Unies et des gouvernements utilisent publiquement cette expression depuis 2010. C'est pour les victimes de violations massives et systématiques des droits humains, y compris les abus qui constituent des crimes internationaux en vertu du Statut de Rome, est important de mettre fin à l'idée fausse que l'expression encourage.

Le rôle de la participation des victimes dans les procédures pénales internationales, que ce soit devant des tribunaux internationaux, hybrides ou nationaux, fait depuis longtemps l'objet d'un débat public parmi les praticiens de la justice pénale et les militants des droits de l'homme. Au lendemain...

Au Liban, en l'absence d'un programme d'études global, les jeunes grandissent avec une connaissance limitée de l'histoire du pays. Les jeunes veulent comprendre la guerre afin de pouvoir faire face à son héritage de violence et de divisions et faire face à la violence continue et au danger...

Tout au long de l'année 2023, les experts de l'ICTJ ont offert leur point de vue unique sur les dernières nouvelles à travers le monde dans le cadre du Rapport mondial. Leurs commentaires perspicaces ont mis en lumière l’impact de ces événements sur les victimes de violations des droits humains ainsi que sur les luttes plus larges pour la paix et la justice. Dans cette édition, nous revenons sur l'année écoulée à travers la rubrique Choix de l'Expert.

Le 15 octobre, le secrétaire général des Nations unies a lancé deux appels humanitaires forts : le Hamas doit libérer les otages immédiatement et sans conditions, et Israël doit permettre à l'aide humanitaire d'entrer à Gaza sans entrave afin qu'elle puisse atteindre les civils qui en ont désespérément besoin. Le Conseil de sécurité des Nations unies a entendu mais n'a pas écouté ses paroles, tandis que les gouvernements qui ont le pouvoir de persuader les acteurs engagés dans les hostilités de respecter l'État de droit ne l'ont pas fait. Pourtant, l'impératif moral est clair et simple.

Il y a huit ans, l'Assemblée générale des Nations Unies a déclaré le 19 juin Journée internationale pour l'élimination de la violence sexuelle dans les conflits dans le but de sensibiliser le public à cette tactique de guerre endémique; honorer les innombrables victimes et survivants à travers le monde, ainsi que ceux qui travaillent pour mettre fin à ces violations; et finalement éradiquer cette pratique déshumanisante. L'histoire a montré que chaque fois qu'il y a une crise politique ou sécuritaire juxtaposée à une réponse militarisée, la violence sexuelle liée au conflit est déployée comme une tactique pour soumettre, déshumaniser et terroriser les civils et les opposants.

Au Liban, ces dernières années, les demandes de changement ont souvent été accompagnées d’une forte odeur de peinture en bombe et du son de la musique. Les jeunes ont peint des fresques et fait des graffitis sur les murs. Ils se sont unis dans le chant et la danse, et ont utilisé l’art sous toutes...

Libyan civil society organizations are fighting against all odds to support victims of human rights violations. In doing so, they themselves risk violence and do their work despite the visible and invisible pain they feel and the innumerable obstacles placed in front of them. Renewed global attention on the Libyan conflict and two new draft laws to protect activists and others may help.

New York, le 18 janvier 2022— Le Centre International pour la Justice Transitionnelle (ICTJ) a le plaisir d'annoncer le concours artistique "Wide Awake", un appel ouvert aux artistes libanais(e)s et tunisien(e)s ainsi qu'aux artistes vivant au Liban ou en Tunisie pour explorer le thème "le son de la...

Le Centre International pour la Justice Transitionnelle (ICTJ) a le plaisir d’annoncer « Outre-mer » : un concours d’écriture destiné aux jeunes ayant 35 ans au plus, originaires de ou résidant actuellement au Liban, en Libye ou en Tunisie, pour partager leurs expériences personnelles de la migration dans un court témoignage écrit.