8 Résultats

Au Liban, ces dernières années, les demandes de changement ont souvent été accompagnées d’une forte odeur de peinture en bombe et du son de la musique. Les jeunes ont peint des fresques et fait des graffitis sur les murs. Ils se sont unis dans le chant et la danse, et ont utilisé l’art sous toutes...

Au Liban, en l'absence d'un programme d'études global, les jeunes grandissent avec une connaissance limitée de l'histoire du pays. Les jeunes veulent comprendre la guerre afin de pouvoir faire face à son héritage de violence et de divisions et faire face à la violence continue et au danger...

Cette année marque le 50e anniversaire du mouvement hip hop. Pour honorer ses contributions à la lutte pour la justice, la vérité et l'égalité, la Fondation Skoll a organisé une table ronde et un concert mettant en vedette des artistes hip-hop, dont le cofondateur du légendaire groupe de rap Run-DMC Darryl McDaniels et le rappeur et producteur colombien Ali alias Mind. , dans le cadre de son 20e Forum mondial qui s'est tenu en avril à Oxford, au Royaume-Uni. ICTJ, qui a reçu le prix Skoll pour l'innovation sociale en 2009 et s'est associé à la Fondation Skoll depuis, a invité Ali alias Mind en tant que représentant de Rexistencia Hip Hop, un laboratoire de mentorat artistique et de création dirigé par le bureau de l'ICTJ en Colombie et les médias latino-américains. outlet et fondation Cartel Urbano.

Le mot arabe « Zyara » signifie « visite » en français. La série documentaire Zyara adopte une approche innovante et profondément personnelle de la narration en vue de favoriser une guérison sociale et émotionnelle collective. À travers des rencontres sincères, il dresse les portraits poétiques de quatre réfugiés yéménites vivant à Oman, dont un avocat et militant des droits humains, un employé de restaurant, un champion d'arts martiaux et un homme d'affaires. En racontant leurs histoires et en célébrant l'esprit de résilience du peuple yéménite, le projet Zyara cherche à sensibiliser et à préserver la vérité et la mémoire.

Les 5 et 6 juin 2024, l'Union africaine (UA) et l'Union européenne (UE) ont accueilli la quatrième édition du séminaire d'experts UA-UE sur la justice transitionnelle à Bruxelles, en Belgique. Le consortium mettant en œuvre l'Initiative pour la justice transitionnelle en Afrique, dirigé par l'ICTJ, a contribué à l'organisation de l'événement. Le séminaire a exploré la manière dont les processus de transition peuvent transformer la vie des individus, les relations sociétales et les institutions étatiques dysfonctionnelles.

En février 2024, le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l'homme a organisé un événement à Séoul, en Corée du Sud, marquant le 10e anniversaire de la publication du rapport de la Commission d'enquête des Nations Unies sur les droits de l'homme en République populaire démocratique de Corée. Ruben Carranza, expert principal du ICTJ, a pris la parole lors de l'événement et a discuté des leçons tirées des formes non judiciaires de responsabilité. Dans cet entretien, il explique pourquoi une approche plus large de la justice transitionnelle est nécessaire et comment les mesures de justice transitionnelle peuvent contribuer à promouvoir la paix et une éventuelle réunification dans la péninsule.

L'ICTJ plaide pour l'inclusion de la santé mentale et du soutien psychosocial (SMSPS ) dans toutes les initiatives de justice transitionnelle et entreprend des recherches sur les meilleures pratiques dans ce domaine. Virginie Ladisch, experte principale de l'ICTJ, dirige ce travail. Elle est l'auteure principale du prochain rapport, « La recherche du bien-être des personnes » : intégration d'une approche psychosociale à la justice transitionnelle . Dans cette interview, Ladisch discute de l'importance de la SMSPS pour la justice transitionnelle et de son travail sur le sujet.

Près de huit ans après le départ de l’ancien président gambien Yahya Jammeh du pouvoir, le pays cherche toujours à obtenir justice pour les violations des droits humains commises pendant ses 22 ans de dictature. En mai 2023, le ministère de la Justice a publié un plan visant à mettre en œuvre les recommandations de la Commission vérité, réconciliation et réparations du pays. Si le plan promet de rendre justice et de réparer les torts causés, pour avoir l’effet escompté, il nécessite une large participation du public au processus, en particulier celle des jeunes. Dans cet esprit, l’ICTJ s’est associé au Fonds pour la consolidation de la paix des Nations Unies dans le cadre d’un projet visant à encourager la jeunesse gambienne à jouer un rôle de premier plan dans ce processus et dans l’avenir du pays.