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Le rapport ci-joint, rédigé par l’ICTJ et la Fondation Kofi Annan, explore les postulats courants sur les raisons qui ont conduit à la création des commissions de vérité dans le sillage des conflits armés, et les facteurs les plus probables qui ont mené à leur succès – ou leur échec. ...

Le Centre International pour la Justice Transitionnelle (ICTJ) vient de publier un nouveau guide pour les néophytes, les journalistes et les activistes, qui les conduit à travers le dédale de la « complémentarité », un principe fondamental de la Cour Pénale Internationale. Ce guide ex...

Par Sarah Kasande, Chris Gitari et Mohamed Suma Depuis un certain temps, certains médias qualifient les relations entre l’Afrique et la Cour Pénale Internationale de perpétuellement négatives, voire antagonistes. Cela fait très bien le jeu de certains leaders africains qui se sont acharnés à...

Il peut sembler trivial pour moi d'écrire sur les raisons pour lesquelles ceux qui continuent de marquer le 17 juillet comme la "Journée de la justice internationale" devraient enfin cesser de l'appeler ainsi. De nombreux groupes de défense des droits humains (y compris l'ICTJ), des agences des Nations Unies et des gouvernements utilisent publiquement cette expression depuis 2010. C'est pour les victimes de violations massives et systématiques des droits humains, y compris les abus qui constituent des crimes internationaux en vertu du Statut de Rome, est important de mettre fin à l'idée fausse que l'expression encourage.

Qutaiba Idlbi and Nousha Kabawat Dans le cadre de ses efforts continus pour soutenir les organisations de la société civile syrienne cherchant à mettre fin aux disparitions forcées en Syrie, l'ICTJ a organisé une visite aux États-Unis pour les membres de deux importantes associations familiales...

Kampala, le 17 octobre 2022— Seize ans après la fin du conflit de plusieurs décennies entre le gouvernement ougandais et le groupe rebelle de l'Armée de résistance du Seigneur (LRA), les victimes continuent de lutter contre ses effets persistants. Les victimes de violences sexuelles liées aux...

Nousha Kabawat et Elena Naughton Le 15 septembre, l'ICTJ a organisé un événement parallèle sur les disparus en Syrie, parrainé par les gouvernements du Luxembourg et de la Finlande, lors de la 77e session de l'Assemblée générale des Nations Unies. L'événement arrivait à point nommé, car il traitait...

L'ICTJ et le projet Bridges of Truth lancent Tomorrow We Continue, un nouveau court métrage documentaire d'animation qui suit une jeune mère de deux enfants dont le mari a été détenu et a disparu par les forces de sécurité en Syrie il y a quelques années. Le film emmène le spectateur dans son voyage en tant que réfugiée à la recherche de sécurité à Berlin et dépeint les luttes quotidiennes qu'elle rencontre une fois installée alors qu'elle essaie de gagner sa vie et de s'occuper de ses enfants tout en continuant à chercher son mari. Depuis le début de la guerre en Syrie en 2011, plus de 100 000 personnes ont été portées disparues ou détenues arbitrairement. Les familles qu'ils laissent derrière eux peuvent se déplacer vers des endroits plus sûrs en tant que réfugiés, mais la recherche de leurs proches persiste partout où ils vont. Ce film est une de leurs histoires.

Le 21 mars, le Parlement ougandais a adopté le projet de loi anti-homosexualité, adoptant la loi anti-LGBTQ+ la plus dure au monde. En vertu de celle-ci, l'homosexualité est passible de la réclusion à perpétuité, tandis que "l'homosexualité aggravée" est passible de la peine de mort. Le projet de loi menace non seulement les droits des personnes LGBTQ+, mais il sape et érode l'engagement de l'Ouganda envers les droits humains.